"Responsables mais pas coupables" : l’équation impossible des dirigeant/es d’entreprise.

La référence à l’affaire du Sang contaminé des années 80 et de l’implication de certains ministres de l’époque n’est pas tout à fait fortuite. 

C’était en 1980, on venait de découvrir que des poches de sang avaient été contaminées par le virus du sida et de l’hépatite C, provoquant plus de 4000 victimes à l’époque. 

Les ministres d’alors, dont Laurent Fabius et Georgina Dufoix, avaient comparu pour négligence et dissimulation de la gravité des faits. 

L’axe de défense de leurs avocats fait encore référence aujourd’hui :  ils avaient plaidé « responsables mais pas coupables ». 

Plus récemment, Bruno Lemaire, ministre sortant des finances, a été auditionné ces derniers jours dans le cadre de l’enquête parlementaire sur le déficit public.  

Sa défense est identique : selon lui, sa responsabilité n’est pas engagée. Il invoque la crise sanitaire de 2020 et les derniers mois de tensions géopolitiques sans précédent, mais réfute toute responsabilité.

Alors imaginez un instant : le/a boss se présentant comme « responsable mais pas coupable ? ». 

Impossible.  

Dans le monde de l’entreprise, en particulier des TPE et PME qui forment l’essentiel du tissu entrepreneurial français, la responsabilité du dirigeant est totale.

Il/Elle est responsable de tout : des choix stratégiques aux résultats financiers, de la gestion des équipes aux relations avec les partenaires. Et plus encore : en cas de faute, la responsabilité pénale peut aussi être engagée.

C’est souvent une montagne de responsabilités qui lui incombent : et ils/elles courent après…la peur de chaos.

D’ailleurs, en cette fin d’année, nous ne mettons plus la main sur eux, tant leur agenda est satellisé !

Ajoutez au cocktail mortel de décembre (soirées réseaux + initiatives commerciales de dernière minute), les aléas politiques de la gouvernance du Pays = vous obtiendrez un monde entrepreneurial de fin d’année sur les rotules. 

Sur les rotules, responsables et…potentiellement coupables de ne pas avoir fait les bons choix de croissance en 2024 : les dirigeant(e)s jouent gros en cette fin d’année.

Le risque est grand : en octobre 2024, La Banque de France a publié le taux de défaillances dans les entreprises françaises.

En 4 ans, le nombre d’entreprises françaises défaillantes est passé de 1500 à 6000 chaque mois.

La courbe est stupéfiante : en 4 ans, le nombre d’entreprises françaises défaillantes est passé de 1500 à 6000 chaque mois. 

Les chiffres sont à peine croyables mais les entrepreneur/es résistent et innovent pour sauver leurs marchés, leurs entreprises et les salaires associés.

Aujourd’hui, plus que jamais, les dirigeant/es ont besoin de partenaires fiables. 

En tant qu’acteurs économiques et stratégiques, nous avons tous un rôle à jouer pour aider les entreprises et leurs dirigeant/es à faire les bons choix, à anticiper les risques et à agir avec sérénité.

👉 Si vous êtes dirigeant(e), mettez au point un nouveau discours commercial percutant pour repositionner votre entreprise et vos équipes sur le devant de la scène concurrentielle ! Entourez-vous des compétences pointues en développement commercial et en communication ! Faites les bons choix en 2025.

👉 Si vous êtes entrepreneur(e) solo, communiquez sur les axes différenciants de votre proposition de services, saisissez-vous des groupes Facebook pour communiquer localement, de LinkedIn pour trouver des partenaires et des relais de visibilité dans votre filière, et soignez votre process de vente. 

Aider nos entreprises n’est pas seulement un devoir moral, c’est un impératif pour garantir les emplois et la pérennité de l’économie française.

Ensemble, soyons les allié/es des dirigeants dans cette aventure complexe.

Nous vibrons pour eux, nous croyons en eux, nous sommes eux !

Le collectif DURE COMME FAIRE accompagne les entreprises du Sud-Est en urgence 🚨 dans leur relance : conquérir de nouveaux clients ou adhérents, trouver des investisseurs, toucher les élus locaux, redynamiser leur image ou mieux recruter. 

Sur notre territoire du Sud-Est de la France, nous nous tenons au plus prés des entreprises qui concourent à protéger l'environnement, qui nourrissent l'humanité ou l'aident à vivre et vieillir en bonne santé.

Notre mantra : "Il faut y croire".